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25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 13:13

Herbert Striessnig has passed away on the 21st of August 2016.

A continuous friendship since 1960 when I started at the Mayfair Hotel with Herbert as Reception Manager. ​A master Hotelier who has reached the summum of his trade in the very top as a General Manager of the Savoy Hotel in London.

The originality of our friendship is that over these 56 years we were constantly comparing two careers. Which is the more fulfilling beeing on your own or managing for big companies.?

At the beginnig I was the winner.. At the end, he was largely on top as the head of the Savoy for several years.

He was instrumental as an example to the young generation. He helped a number of people to succeed in our trade notably my son Jérôme who was on a three years management course under his coaching and who is now the owner of a successful restaurant in Barcelona.

He was a member of nearly all the trade associations. Always interested in charitable work. He was an example to us all for his surmounting two griefs loosing his daughter Susanah in 2001 and his wife Vida in 2010 with courage and dignity.

I salute his son Carli.

GOOD BYE HERBERT. GOOD BY MY FRIEND YOU DID WELL.

Aron Misan

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 12:38

Je suis en seconde au Lycée Voltaire à Paris en 1951. Professeur de français : Jean-Louis Bory. Homme exceptionnel par son respect des élèves, son attitude décontractée et sa gentillesse. Il ne s'asseyait jamais sur son pupitre en hauteur mais parmi ses élèves. J'ai toujours ramassé des 2 et des 3 en dissertation mais il me rendait ma copie sans sarcasmes et même avec bienveillance. Vous savez qu'il animait une émission de radio sur le cinéma. Il en était fada. Très grand critique et amoureux jusque la fin de ses jours du Cinéma.

 

En première Moderne en 1952 mon professeur de Français s'appelait Henri Agel. Catho fervent qui passa tout un trimestre sur Pascal. Son "Défi" je le connais par coeur cela ne m'a pas empêché de rester un athé confirmé .

Henri Agel était critique de cinéma au Figaro ou Le Monde je ne me souviens plus.

 

Je suis depuis toujours un fervent cinéphile avec deux ou trois séances par semaine. Vous pouvez apprécier mon bonheur d'appartenir à un Lycée ou il y avait un Ciné-Club, surprise, surprise dirigé conjointement par Henri Agel et Jean-Louis Bory. Un film par semaine où, un des deux responsables, présentait le film. Après la projection, discussion générale sur tout les aspects du film. Scénario, mise en scène, acteurs, décors, dialogue, musique. Nous avons compris que le chef-d'oeuvre absolu était le film qui réunissait toutes ces différentes composantes et il y en a beaucoup qui resteront pour jamais dans les annales du Cinéma.

 

C'est au Ciné-Club du Lycée Voltaire que j'ai vu ou revu ce qu'on appelle les dix meilleurs films jamais réalisés.

Cuirassé Potemkine, Citizen Kane, Les feux de la Rampe, Les enfants du Paradis, Casablanca ( vu 49 fois ), etc.

On était là médusés par le cinéma italien avec le voleur de bicyclette, tout les japonais, Kurosawa , les anglais avec l'inégalé Hamlet de Laurence Olivier, Tout MGM des années 40-50.

Avec une fondation aussi solide j'ai pu apprécié ce qui a suivi :  la nouvelle vague, Kubric, Scorcese,Fellini, Bertolucci,John Ford, sans oublier  Marylin Monroe sublime d'émotions dans les Misfits.

Petit j'ai grandi avec les Tarzans de Johnnie Weissmuller, tout les Charlots, Lassie avec Elizabeth Taylor, Zorro,Laurel et Hardy, Bud Abbott and Lou Costello, Esther Williams avec ses ballets nautiques et l'orchestre de Xavier Cugat.

Puis avec Marielle et Jérôme : Star Wars, les James Bond, Jungle Book, Bambi, Sound of music, Laurence of Arabia, etc.

 

J'arrête.

 

Merci à vous Henri Agel et Jean-Louis Bory, je vous paie ce modeste hommage pour vous remercier d'avoir partager avec vos élèves du Lycée Voltaire votre Amour du Cinéma, oui avec un grand A et un grand C.

 

Aron Misan

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 13:31

Cours de français en 4ème. J'ai 14 ans. Sensibilité moyenne, intelligent, curieux , émotif et nul en français. Le prof nous parle de Ronsard, Du Bellay et de Malherbe. Et puis il nous annonce qu'il allait nous parler du plus beau vers de la poésie française. Ca m'intéresse.

 

Il s'agissait de Consolation à Monsieur Du Perrier sur la mort de sa fille.

 

                                                      Mais elle était du monde où les plus belles choses

                                                      Ont le pire destin;

                                                      Et, rose, elle a vécu ce que vivent  les roses,

                                                      L'espace d'un matin.

 

Le prof fit l'explication de texte et revint sur ce fameux vers : Et ,rose, elle a vecu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin.

La fille que Du Perrier pleurait s'appelait Rosette. La mouture première de de Malherbe était :

Et, Rosette, a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin.

 

Le genie, la prouesse et le sens poètique de l'auteur,  fit substituer Rosette par :   Et, rose,elle.

Et voilà comment on crée le plus beau vers de la langue française.

 

Dites                                            Et, Rosette, a vécu ce que vivent les roses

Maintenant répétez                   Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses

 

Voilà sûrement la virgule la plus célèbre de la langue française qui tranforma un vers banal en un vers sublime.

 

Ce vers  Et,rose, elle a vécu ce que vivent les roses, est ancré dans ma mémoire depuis cette leçon de français. Il tourne en boucle dans ma tête,  persuadé qu'il était écrit par Ronsard ou Du Bellay.

 

Il y a seulement qq années j'ai voulu retrouver ce texte. Impossible de le trouver sous Ronsard ou du Bellay. Je pris mon anthologie de la poésie française et feuilletait page par page le 16e siècle. Rien. Je continuais sur le 17ème siècle et là je tombe sur Consolation à Monsieur Du Perrier, gentilhomme d'Aix en Provence, sur la mort de sa fille,  par François de Malherbe 1555-1628.  

 

Je relis souvent cette stance qui est très belle et qui est un exemple de ce qu'on peut dire à un proche qui a perdu quelqu'un qui lui est cher.

 

 

 

Aron Misan

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 20:23

L'Extraordinaire histoire de Philippe N.

 

Je veux vous raconter cette incroyable histoire de PN, un jeune garçon qui par sa  tenacité et son acharnement pour le turf anglais est devenu le grand assureur de chevaux de courses d'Angleterre.

Un jour son père qui était peintre en bâtiment, voulant repeindre la chambre de Philippe 15 ans démonte le radiateur et trouve une liasse de billets de cinq livres anglaises. Il interpelle son fils qui lui avoue jouer aux courses et que ma foi il aime ça, que ça lui réussit et qu'il a l'intention de continuer si son père voulait bien le laisser poursuivre.

Philippe achetait tous les matins le journal du turf angalis. Il étudiait la" forme" de chaque course et marquait ses paris sur un morceau de papier. Comme il n'avait pas l'âge de rentrer dans les "Bettings shops" il attendait à l'extérieur et demandait aux gens qui rentraient de lui placer ses paris. Il se fit un petit pactole. Niveau sccolaire CE.

Lorsqu'il atteint sa majorité il se fait embauché dans une société d'assurances spécialisée dans les purs sangs.

Au bout de qq années il s'en va pour ouvrir sa propre boîte ou il fait de l'argent vu son extraordinaire connaissance des 

chevaux. Il participe à toutes les ventes de yearlings en Angleterre et en France et finit par s'acheter qq bons chevaux qui ont eu du succès. Il devint la référence à Londres et ceci à moins de 35 ans.

Quand je l'ai vu à KEATS, mon restaurant, c'était le bonheur immédiat, il avait la réussite que j'aimais dù entièrement à lui, un tempérament jovial, très bien habillé,une silhouette de manequin et beau gosse en plus avec son accent qui n'était pas d'Oxford, une générosité sans limite et un maintien exemplaire de grand seigneur. En plus sa femme était des plus belles et des plus intelligentes à la fois.

Il est resté mon ami jusqu'au bout et je l'invitais à toutes mes soirées que j'organisais à Keats.

Il est venu souvent à la maison et nous invitait chez lui à St Johns Wood ou ses soirées Halloween avec un feu d'artifice époustouflant étaitent très courrues.

Appréciez cette invitation inoubliable à moi et Marie-France. Il nous invita pour le Derby d'Epsom. Il nous demanda d'être prêt pour 11 heures du matin. Une Rolls arrive avec chauffeur et nous emmène à un Héliport devant la Tamise. Hélicoptère qui nous emmène à Epsom. Une autre Rolls nous emmène dans la loge privée de Philippe. Là il y a une dizaine de personnes que Philippe avait invité comme clients de sa société. Il nous reçoit et nous présentent. Discrètement il me met une enveloppe dans la main en me disant que c'était pour que je m'amuse à parier. Les plateaux de nourriture se succédaient et bien sùr le champagne et les bordeaux étaient de la fête. Pas mal. Attention aucune volonté de sa part d'exposer ses richesses . Epsom c'est ça. Toutes les sociétés font la même chose. C'est comme les tentes à Wimbledon ou les pique-nique de rugby avant les matchs. Ce monsieur avait de la classe et une très grande connaissance des chevaux et a travaillé très dur du plus bas de l'échelle pour arriver au top de la profession qu'il avait choisi par passion.

Je l'ai appelé de France un jour il y a  qq temps. Il est tombé des nues. Aron tu devrais me voir, j'ai pris des kilogs, tu ne me reconnaîtrais plus. Sacré Philippe. Chapeau l'artiste.

 

Aron Misan

 

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 18:41

A la mort de Lucian Freud ,ce grandissime peintre anglais, je me souviens d'une altercation que j'ai eu avec lui dans mon restaurant à Londres dans les années 80.

Son galériste me téléphone pour réserver une table pour quatre et m'annonce qu'il emmène Lucian Freud.

Ils arrivent commandent et commencent leur repas.

Dans une table plus loin se trouve un monsieur qui se lève pour photographier avec un peu de recul ses invités. Rien à voir du tout avec la table de LF.

J'entends hurler en pleine salle LF :  Stop that F..... flash dont do it again I hate the B..... flashes.

Je m'approche de sa table et il continue : I cannot stand the B... flashes.

Je me suis adressé au galériste en ignorant LF : Ce comportement est intolérable, la prochaine fois je te demanderais de choisir tes invités avant de les emmener chez moi. J'ajoutais que son invité pouvait partir tout de suite si mon restaurant ne lui plaisait ou s'il ne pouvait pas contrôler ses humeurs.

Sur ce je tourne le dos et m'en vais vaquer à mes  occupations. LF encaissa le coup. Le repas continua sans histoires. Au café on me demanda de me joindre à eux. LF me complimenta sur le repas et l'ambiance extraordinaire de mon retaurant il me deçerna le prix du patron le plus courageux de Londres pour avoir osé  parler comme je l'avais fait.

LF vint plusieurs fois à son propre compte et me présenta  à chaque visite comme une terreur et qu'on avait intéret à bien se tenir si on voulait revenir.

LF était membre de cet Ordre du Mérite qui comportait une vingtaine de membres prestigieux. A sa mort la Reine l'a remplaçé par David Hockney dont j'ai parlé sur mon hommage à Richard Hamilton.

Voila une petite histoire sympa j'espère qu'elle vous a plu. A bientôt

 

Aron Misan

 

 

 

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 14:35

Richard Hamilton 1922-2011 nous a quitté en septembre. Je l'ai connu en 1964 où il venait souvent en compagnie d'amis dans mon restaurant à Londres. Je vous invite à aller sur Google images et lire sa biographie et voir une partie de ses oeuvres. Je préfère vous raconter quelques unes de nos rencontres et vous parler de l'homme et de sa personalité.

Je venais d'ouvrir mon restaurant qui a très bien marché depuis le début. A trente ans à cette époque j'étais un innovateur et les  swinging sixties battaient leur plein.

 

Mon voisin direct était galériste qui lançait le Pop Art à Londres. Richard avait son exposition et il est venu souvent manger seul ou accompagné. A la fin du repas il me demandait de les joindrent. Nous bavardions jusqu'aux petites heures. Un jour  il m'emmena  une litho de son autoportrait sur le Times de NY qu'il a dédicacé  à moi et à ma femme Marie-France. Le premier beau geste.

 

Un jour pour déjeuner il vint avec Marcel Duchamp. Là j'ai appris que Richard était un spécialiste de Duchamp qu'il avait connu à NY et qu'il avait écrit un livre sur lui et plus fort, avait fait une réplique de "La mariée mise à nu par ses célibataires"

 

Au bout de quelques années j'achetais un des restaurants les plus huppés de londres, le Keats à Hampstead. C'était le rendez-vous obligatoire de tout ce qu'il y avait de plus branché à Londres. Là il a beaucoup aimé et ce fut sa cantine exclusive. Il invitait tout ses copains artistes. Je vis défiler les plus grands. Un soir il emmène David Hockney qui dit en passant était son élève au cours d'art que donnait Richard. Comme d'habitude il me demande de les joindre. On parle de beaucoup de choses et voilà que David me félicite pour mes allumettes à cigare. je fis signe au Maître d'Hôtel qui ramena un carton de 50 boites. Ce geste m'a valu une dédicace d'une page entière avec le dessin d'un boite d'allumette avec une allumette debout dans une connotation très érotique. En parlant d'art je dis à David que j'aimais beaucoup ce qu'il faisait mais que Richard était mon peintre favori.Le lendemain je reçois un coup de fil où Richard m'annonce qu'il emmène Jasper Johns à diner et il me prévient que si je ressort encore la même connerie que j'ai dites à David Hockney sur qui je préfère il serait furieux. J'ai compris que j'avais été plutôt lourd la veille. Pour info Jasper Johns venait de battre tout les records dans une vente de plusieurs millions de dollars à NY pour sa toile du drapeau américain.

 

Un autre soir il emmena Dietr Roth un peintre allemand. Ils étaient assis face à face et lorsque j'ai présenté mon Livre d'Or ils se sont regardés et ont dit  On y va? Et voilà qu'ils dessinent au crayon sur toute la page ensemble et chacun dessinait l'autre. Les portraits caricaturaux  s'emboîtant  l'un l'autre  avec evidemment des pointes d'humour. Lorsque vous regardiez dans un sens il y avait Richard et en inversant la page de haut en bas on voyait le portrait de Dietr. Ils signèrent chacun son bas de page. C'était un dessin étonnant qui a fait fureur avec les  clients qui le regardèrent par la suite.

 

Richard Hamilton était le parfait anglais du nord avec tout ce que cela comportait de culture et de comportement. Nous avons été invités ma femme mes deux enfants et moi dans son domaine dans l'oxfordshire. Une grande ferme qu'il a converti lui même en une maison et deux ateliers de travail un pour lui et l'autre pour Rita Donagh une artiste peintre de plein droit. Le repas était la cuisine anglaise par excellence entièrement  préparé par Richard. Du pain maison, du saumon fumé du faisan un plateau de fromages exclusivement anglais et le pudding. Le vin était un 1er cru, les cigares et le porto suivaient.

 

Après le repas il nous emmena dans son atelier ou il nous montra un énorme tryptique sur lequel il travaillait. Le sujet était les prisonniers Irlandais qui pour protester contre leur incarcération badigeonnaient leurs murs de leur excréments. Ce tableau était prévendu à un grand musée à NY.Ensuite il prit notre portrait avec un polaroid. Devant la figure il plaçait un verre avec du gribouillage dessus. Cela donnait l'impression que ce gribouillage était sur notre visage.Sur le chemin du retour les enfants étaient émerveillés par cette magnifique journée je leur ai dit  que pour faire mieux il fallait aller du côté de chez Picasso.

 

Une autre fois j'ai invité Richard et Rita à la maison à un  diner. Nous étions huit et pour faciliter la tache à Marie-France j'ai demandé au Chef de nous préparer huit truites en gelée qu'il fit délivrer chez moi. Evidemment la truite était superbe avec une décoration trés pro. Après l'apéro on passe à table. Tous les invités s'extasient et Richard me lance un regard féroce et me dit : tu n'as pas fait  ce plat. Je lui avoue que non. Le repas qui suivit était excellent car MF se défend très bien. Et là Richard félicite MF et avoue comprendre que vu le travail fourni et la qualité du repas il aurait dù se taire. Je raconte cette anécdote car très peu de gens aurait osés faire ce genre de remarque. Mais venant de lui et connaissant Richard, il aurait été idiot de ne pas avouer tout de suite.

 

Il est évident que ce qui devait se passer arriva. Richard signait ses factures. Lorsque je lui présentait son premier relevé de compte il me proposa de passer à son atelier et me demanda de choisir une litho. Je me souviens que la 1ère était sa version des Meninas avec les personnages de Velasquez remplaçés par des figures déssinées à la Picasso. Suivirent qq autres. Il publia un livre dans les années 80 "Collected words". Je lui en achetais 10 exemplaires que je lui fit signer et les offrit en cadeau de Noël à mes meilleurs clients et amis. 

:

Il était très fier de son cendrier Ricard. Il le reproduisit à l'identique mais en ajoutant un H. Résultât : RICHARD.

 

On arrive à la fin. En 90 je quittais Londres pour le Pas de Calais ou je rachetais L'Atlantic à Wimereux. Il m'annonça un jour qu'il voudrait bien venir me voir sur son chemin à destination de Cadaquès ou il avait une maison. Je lui répondait qu'il serait mon invité. Je pensais lui faire plaisir en invitant La Voix du Nord qui prit une photo de lui avec moi ma femme et ma fille. Elle parut le lendemain en demie première page. Je senti qu'il n'était pas à l'aise et qu'il pensait avoir été manipulé pour des raisons commerciales. Au diner le restaurant était presque vide et le repas surtout le poulet n'était pas à la hauteur. J'ai essayé de me rattraper avec un Lafitte et des cigares. Le lendemain il est parti et je ne l'ai plus revu. Contairement à son habitude il ne répondit pas à mes voeux ou aux lettres que je lui ai envoyées.

 

Toutes ces années je me suis demandé la raison de son comportement.

 

Il y a seulement deux semaines j'ai lu qu'il deçeda en septembre. J'ai eu un choc. J'ai été très triste. J'ai perdu un ami.

 

 

Aron Misan

 

 

 

 

 

 

 

 

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